Emerge !

Multi-instrumentiste autodidacte, Arno Saari s’est initialement tourné vers la guitare, instrument DIY par excellence, grâce à une référence originale : Metallica. Aujourd’hui, il maîtrise également le clavier, la basse, quelques percussions, le tout sans s’encombrer de notions théoriques ou de solfège.

Véritable enfant de sa génération, Arno Saari est pluriel, refuse les catégories et puise son inspiration dans les différents courants musicaux qui l’accompagnent depuis l’adolescence : entre indie, jazz, électronique, shoegaze ou alt-RnB. Bref, un joyeux bordel. S’il fallait définir ses morceaux, il conviendrait de parler d’humeur.

Dans son art, Arno Saari crée une synergie entre musique et texte. Une sorte de grand écart maîtrisé entre musicalité grandiloquente et narration entre-quatre-murs. C’est que l’artiste belge, mélomane assidu, tient à laisser de l’espace à ses productions, auxquelles les mots ne sont parfois qu’un support.

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Projet solo du batteur Alain Deval (The Brums, Ginger Bamboo, Quark, Anu Junnonen … ), Bothlane est un mélange de batterie et de synthé-modulaire inspirant la trance et la danse.

Il puise son inspiration tant dans la techno que dans les rythmiques afro/jazz ou simplement dans la texture sonore. Pas de barrières, juste une manière fougueuse et brute d’aborder la musique et le son.

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Coline Cornélis est une DJ et illustratrice basée à Bruxelles. Animée par son intérêt pour les sons purs, l’harmonie et les textures, Coline entend offrir émotion et délicatesse à ses performances. Elle sélectionne et entremêle des enregistrements rares et chers à son cœur.

Quand elle ne mixe pas, la Bruxelloise compose ses propres pièces atmosphériques et introspectives. A travers la musique, Coline vise à tisser des liens entre le son, l’image, les mots et les gens.

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Originaire de la Forêt-Noire, en Allemagne, Fejká produit ses premiers morceaux à seulement 17 ans.

Ne souhaitant pas se cantonner à un seul spectre sonore, l’artiste cherche en permanence l’équilibre entre les atmosphères douces et rêveuses et les vibrations percutantes de la techno. Sa musique organique se situe quelque part entre la mélancolie et l’euphorie, donnant une interprétation unique d’émotions que l’on entend rarement sur les pistes de danse.

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Miki est jeune, franco-coréenne et auteure-compositrice. Elle sort ses premiers titres sur les plateformes en 2020.
Miki revendique le DIY et le second degré. D’ailleurs, l’artiste aime réaliser ses clips elle-même. Elle adore les synthés de Yellow Magic Orchestra, les guitares de Temples et le groove d’Estelle. 
Miki enregistre actuellement son premier EP qui sortira dans quelques mois et elle a déjà hâte de nous partager ça !

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Oriana Mangala est une musicienne/interprète basée à Bruxelles. Après avoir cherché son propre son dans divers projets et ses études au Conservatoire Royal de Gand, elle a récemment commencé à faire de la musique sous le nom d’Oriana Ikomo.

Elle puise son inspiration dans le jazz, la soul, le rnb et la musique électronique (Solange, Nils Frahm, FKA twigs, James Blake…), entre autres. Il en résulte un son unique, rêveur et plein, qui accompagne sa voix pleine d’âme. 

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Peuk signifie « mégot de cigarette ». Une clope, c’est quelque chose que l’on jette négligemment ou que l’on écrase après l’avoir appréciée. De courtes bouffées, de longs tirages, qui pénètrent profondément dans vos poumons et votre cerveau. Et puis on s’écrase sur le sol avec, pour passer à la prochaine bouffée d’oxygène. C’est ainsi que l’on peut décrire la musique de Peuk. Ce trio limbourgeois, encore franchement inconnu dans le sud de la Belgique, aime déposer une couche de goudron sur votre âme et, lorsque vous l’écoutez, il est aussi addictif que la nicotine.

Peuk nous met en appétit de leur prochain album Escape Somehow en nous présentant leur nouveau single Good Old Ways, qui a tout pour séduire les fans de post punk.

« Good Old Ways nous parle de traitement, de regret, de manque, d’oubli, de déni, d’opposés et d’âmes sœurs, avec une tranche de citron », s’amuse la chanteuse et compositrice Nele Janssen.

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Porcelain id est le pseudonyme sous lequel Hubert Tuyishime sort des chansons idiosyncrasiques depuis 2020. L’artiste rwandais originaire d’Anvers a immédiatement réussi à adopter un style unique et reconnaissable, caractérisé par des voix brutes et émotionnelles. Hubert passe avec aisance du néerlandais à l’anglais et écrit des textes personnels sur l’identité, le genre et le racisme.

En deux ans, Porcelain id est devenu l’un des talents émergents les plus intéressants de Belgique, avec une réputation impressionnante sur scène qui les a amenés à faire la première partie de Meskerem Mees, Sylvie Kreusch et Roland Van Campenhout et un premier prix au concours national Sound Track.

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Quatrus est un producteur électronique belge. Sa musique trouve sa place au croisement de l’expérimental, de l’électronica et de la house. Il bâtit progressivement son univers sonore en s’appuyant, entre autres, sur ses études d’architecture d’intérieur et de scénographie. Ses formations l’ont amené à considérer la musique comme un moyen de stimuler l’imaginaire de son audience. 

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Compositrice, produisant et interprétant sa propre musique, Isolde Van den Bulcke, aka Tristan, fait ses premiers pas dans le secteur musical dès l’âge de 17 ans.

Considérée comme l’une des artistes féminines belges montantes, elle fusionne une pop vocale élégante avec des sons séduisants et des grooves envoûtants.

Si elle peut se montrer douce et fragile à un instant, elle devient diva sinistre l’instant suivant. Elle est Maurice Ravel et elle est Death Grips. Sa musique est magique, électronique. Elle nous invite dans un monde d’émerveillement, de curiosité et de transformation, aux sonorités pop et jazz.

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Quatuor anti-codes et brouilleurs de pistes émérites, les Bruxellois TUKAN sont la dernière bonne nouvelle en date annoncée par la micro-scène Volta. Trois ans déjà que Nathan Van Brande (basse), Samuel Marie (claviers), Andrea Pesare (guitare) et Tommaso Patrix (batterie) mûrissent ce projet en coulisses au gré de leurs inspirations éclectiques.

De restes jazz venus de parcours académiques éclatés, à l’attraction des sirènes électroniques, en passant par quelques coups de grisou post-rock, tout ici est précision et puissance. Une synergie singulière qui, sur scène, prend tout son sens. Car c’est bien sa déclinaison live qui fait battre le cœur du projet. Point trop de technologie ici, la chaleur est organique, les morceaux évoluent et la partition vit. Des prestations qui invitent à la transe…

TUKAN ramène les instruments au milieu de la piste de danse.

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Né dans une zone post-industrielle de Belgique où la nature a partiellement repris ses droits, son style oscille entre disco-kitsch, chicago house, techno et musique de robot. Avec des sets composés de musiques allant de 1948 à 2023, on danse et découvre des pépites d’aussi loin qu’elles puissent provenir.

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